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La femme du marin
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La femme du marin 15 décembre 2007, Delphine Lemaire IP:aa50a0c8c471d0df
Je me souviens de ce texte que j’aime beaucoup.
Difficile d’être la femme d’un marin, tant d’attente, tant d’angoisse... Quand il faut chaque jour espérer voir poindre au loin la voile d’un bateau pour enfin être soulagée et trembler chaque fois que le vent se lève et rend la mer furieuse.
Merci Roland.
Bises.
La femme du marin 16 décembre 2007, Roland IP:435b76a98fd5a5c3
Bonjour Delph,
Oui on en a des exemples malheureux bien souvent, bon c’est vrai que chez nous en Méditerranée ça arrive moins souvent, mais par contre la Bretagne n’est pas épargnée par les accidents.
Il n’empêche que femme de marin c’est pas une vie....
Merci pour ton commentaire
Bises
La femme du marin 12 décembre 2007, genou IP:4162323ea8896357
Une image presque intime de cette vie d’attente. Un très bel hommage. Merci Roland, un texte que j’ai relu avec plaisir.
Bisous Genou
La femme du marin 12 décembre 2007, Roland IP:e9739a984b2b11f3
Coucou Genou,
Merci pour ton passage, un texte qui date un peu mais pas dans son sujet.
Bises
La femme du marin 10 décembre 2007, papabul IP:ba7515f8f11e7f8b
Un très bel hommage à ces "mères courage", celles qui attendent et s’inquiètent...
J’aime particulièrement le choix des images qui font naître de belles émotions, la colère de Neptune, le regard noyé dans l’horizon, le sillage voile de mariée, le cœur amer et le vague à l’âme...
j’ai l’impression d’être près d’elles et de ressentir à la fois la crainte et l’impatience de revoir apparaître le bateau...
papabul
La femme du marin 10 décembre 2007, Roland IP:435b76a98fd5a5c3
Salut Frédéric,
Tu le sais peut-être déjà, mais je suis né et vis dans un port, et bien que n’étant pas marin j’ai des amis qui sont pécheurs, tout ça me touche donc de près.
On parle souvent de la vie des marins pècheurs, lorqu’ils partent des semaines entière en campagne au thon, mais on oublie un peu trop celles qui restent au port.
De mes écrits ce texte est celui qui a ma préférence parcequ’il parle de quelque chose de vrai.
Je te remercie de t’y être attardé.
Roland