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Difficile de commenter ce texte tant il est émouvant Babou !

Tu as traversé tant d’épreuves, surmonté tant d’obstacles qu’aujourd’hui l’avenir ne peut que te sourire. C’est en tout cas mon voeu le plus cher !

Courage Babou, nous sommes et serons toujours à tes côtés pour te soutenir dés que la force te fera défaut.

Bisous.

Merci Delphine pour ton commentaire...
Merci aussi de votre présence vous m’avez beaucoup apporté en m’aidant à me révéler, en m’autorisant à être simplement moi.
Ma fille ce soir a lu ce texte et a pris conscience de l’immense souffrance que j’ai traversé... et Noël cette année aura une autre lumière parce qu’elles seront toutes les deux près de moi avec leurs conjoints. La vie me fait là un bien beau cadeau... et puis mon chéri m’a demandé de l’épouser, je me sens enfin si sereine.
Bisous à toi et ta famille
Babou*

Comment ne pas être rempli d’émotion à la lecture de ce combat et de ces bonnes résolutions ?
Tu as surmonté bien des obstacles, bien des douleurs, bien des défis... reste le plus beau à venir Babou, et je suis certain que celui là t’emportera au paradis (attention, quand je dis paradis, ce n’est pas "de l’autre côté", les années à venir seront, je l’espère et le souhaite, longues et douces...).

Un texte à la fois douloureux, poignant, et pourtant plein d’espoir, de vie, et de promesses...

Merci pour le partage, j’ai envie de dire pour la "leçon", mais ce n’en est pas une bien entendu, c’est une invitation à pousser un grand cri, un cri "primal" comme une (re)naissance..
non ?
bien amicalement,
papabul

La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille et la mienne en est un magnifique exemple.
Tu as raison de dire que ce texte est un cri primal... et je crois que parfois nous devons le pousser ce cri pour nous sentir vivant. Nous faire prendre conscience que nous existons et que de nos souffrances nous pouvons naître ou renaître plus fort encore, plus volontaire, plus authentique.
Merci de ta présence et de tes lectures toujours si attentives. Parfois j’ai l’impression que tu me vois comme peu de gens m’ont vu.
Amicalement Babou*