En réponse à..

Pas un rêve, seulement la triste réalité de la vie. Qu’ils soient du brésil ou d’ailleurs.
Leur vie est un enfer.

Excuse moi de te répondre aussi tardivement. La réalité de tous ces enfants est vraiment dure

Je pense que l’on peut toujours faire quelque chose, ne serait-ce qu’en parler comme tu l’as fait, rien que pour dire que cette misère existe, qu’elle est à nos portes et que bien souvent nous détournons la tête pour ne pas la voir.
Au Brésil comme dans d’autres pays d’Amérique du Sud, on enlève les enfants qui vivent dans la rue, on les opère des yeux pour leur retirer la rétine que l’on revend ensuite à prix d’or pour qu’elle soit greffée à ceux qui ont les moyens de payer et après on les rend à la rue, encore plus fragiles, encore plus diminués en se fichant pas mal de ce qui va leur arriver.
Merci Aimelasorc de ne pas les oublier...

Excuse moi de répondre avec beaucoup de retard, j’avais cru l’avoir fait. Merci Delphine de ce commentaire

Ce texte est excellent. Il y a un talen théatral renforcé par une poésie tragique. C’est frappant et ça prend au ventre. La conclusion inévitable nous laisse plein de trsitesse et de remords. En quelques lignes tu m’as eu, j’ai réagi. C’est fort.

Tristesse, oui. Remords, pourquoi ? Tu ne peux pas porter toute la misère du monde sur tes épaules. Je pense que tu es comme beaucoups d’entre nous, tu aides où tu peux et cela est déjà très bien. Devant cette détresse on ne peut que crier NON