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La marche silencieuse (version2)
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La marche silencieuse (version2) 30 janvier 2008, Guido Alaimo IP:d3a3c5b60c74fb45
Plus fort, plus original, avec un sens plus "secret" (pour moi) que dans la première version.
Et ce chat désormais seul ...
La marche silencieuse (version2) 4 février 2008, Bernard Blazin IP:aa50a0c8c471d0df
AAAHAHah !! Le CHAT !!! C’était le chat de lui ou bien le chat d’elle ?
Je suis une noble serviteur de cette race animal..
Et tel le chat si fidèle à son amour et non à ses maîtres, suivra ce corbillard..
Mais en costume /cravate j’éspère, histoire de nous faire rire une dernière fois !!! :D
Amitiés l’ami !!
La marche silencieuse (version2) 30 janvier 2008, Aimelasorc IP:44f1306fab03bbb5
Est ce parceque tu m’as prévenu et que j’avais préparé mes kleenex ou alors, je m’aguéris ? je ne sais pas , il n’y a pas eu de larmes, cela ne m’êmpêche pas d’être très sensible à ce très beau poême
La marche silencieuse (version2) 4 février 2008, Bernard Blazin IP:aa50a0c8c471d0df
Mais non Aimela, je ne fais jamais de textes pour faire pleurer
Merci pour ton beau message de sympathie
Amitiés
La marche silencieuse (version2) 29 janvier 2008, papabul IP:34c85dcbc24a1d05
une ’belle’ nouvelle version, tout aussi émouvante, vibrante, profonde
j’aime énormément la manière dont tu l’as abordé (pas le sujet..)
Et elle me laisse là, sans mots, plus qu’un murmure douloureux du bout de mon ombre qui pleure sur sa tombe, au bord du bout de la terre, orpheline d’elle, de toi, ’petite mère’, si belle si blanche, si muette, toi, garce qui m’arrache une dernière fois la voix..
...Juste envie d’embrayer le pas, je suis derrière... en retard..
amicalement
frédéric
La marche silencieuse (version2) 4 février 2008, Bernard Blazin IP:aa50a0c8c471d0df
Merci mon ami !!
J’ai tenté de faire un texte à la manière de Brel et de son " Fernand" où l’on sent toute la fatigue, toute la peine, le dos courbé, le beau costume qui sent la naphtaline,le beau du triste...
Il y a, je crois, justement dans la tristesse, une certaine noblesse, que j’aime beaucoup... J’en reviens au dos vouté qui voudrait être droit, qui voudrait ne plus avoir froid, qui voudrait croire et avoir la foi... Mais qui est courbé comme un bossu, tellement que la peine on en a vécu, tellement il faut se réchauffer au pied d’un corbillard se disant, t’as pas la chance, et moi je vis !!!
Finalement, on y passera tous un jour, mais ce jour là je peux te dire que je ferais une fête d’ENFER !!!!