En réponse à..

Ca va Delphine, je ne me suis pas reconnue du tout ( rires) Et comme Moldu, on en un de grande taille malgré sa petitesse en centimetres que tout le monde connaît malheureusement.

Bon tu me rassures Aimela !!!

C’est vrai que nous en avons un de moldu qui pourrait nous servir de mètre étalon, ce serait drôle s’il ne gouvernait (j’allais dire "régnait") pas notre beau pays.

Merci de ta lecture amusée Aimela.

on en connait tous, moldu matuvu
pour la confiture, on a les mêmes références !
mais je connais un moldu qui a pris femme non rentière, avec un métier et un parcours ordinaire (elle est adorable, d’ailleurs) mais il est fier de dire qu’elle lui doit son "ascension"( vers quoi ?) elle lui sert de faire valoir
c’est un gros moldu
super texte, mais ça m’enerve !!
à bientôt

C’est vrai Ristretto, nous en connaissons tous... malheureusement !!!

Ce que tu dis à propos de ce moldu me conforte dans l’idée que chez eux ce qui m’énerve le plus, c’est cette façon qu’ils ont de tirer gloire du travail des autres et de s’attribuer des mérites qu’ils n’ont pas.

Moi aussi, ce genre de personnage m’insupporte !

Merci de ta lecture et de ton commentaire.

Salut, Delphine, comme tu t’en doutes, j’ai difficile à commenter ce texte : ne pas en faire un roman... et ton analyse me donne une furieuse envie de reprendre mes "recherches" abordées dans ‘la lettre ouverte aux moldus’ ou dans ‘histoire naturelle des moldus’.

Ah ben là, je suis bien évidemment à cent pour cent de ton côté, Delphine, il faut combattre la ‘moldialisation’ et revenir aux vraies valeurs d’humilité, d’ouverture, de dialogue, de sincérité, de franchise.

Je déteste ceux "qui la ramènent", qui "se la pètent", ils sont non seulement ridicules, mais parfois dangereux, et effectivement loin d’être aussi brillants qu’ils le croient et le prétendent. Les citations dont-ils saupoudrent leur discours n’est que de la poudre aux yeux, ils ne connaissent bien souvent pas le sens profond de ce qu’ils avancent…

Ils ont tellement de ‘suffisance’ qu’on se demande bien pourquoi ils ne restent pas entre eux… Mais ils ont besoin d’un public, des autres, pour exister. Si c’est pas paradoxal, ça ! Et qui doit forcément fortement les contrarier… Puisque tout, dans leur discours et leur attitude, rejette ce minable public !

A force de s’écrire des scénarii, de "prétendre", ils s’enlisent dans leur mythomanie, leur mégalo, et finissent par s’y perdre. Cela repose, sans doute, sur un solide complexe d’infériorité qui les pousse à nier leurs faiblesses, leur propre frustration de ne pas être à la hauteur de ce qu’ils croient devoir être ou de l’image qu’ils veulent donner d’eux.
Ne s’acceptant pas tels qu’ils sont, normaux et vulnérables comme tout le monde...
Une grenouille qui se prend pour un bœuf ?

C’est pour eux que j’avais écrit ’petit bonhomme’ : Malgré ton orgueil, tes caprices et ta suffisance, Tu es et resteras égal à toi-même, Bas les masques, Petit bonhomme, Tu ne trompes que toi !

A + certainement, je vais réexaminer les brouillons, et j’ai envie de t’embrayer le pas !
Bises
Frédéric

J’espère que tu vas réussir à trouver un peu de temps pour reprendre tes notes et que tu vas nous concocter un petit texte sur les Moldus !!

Je crois aussi que c’est ce mépris que je ne supporte pas. Comme je te le disais, j’ai croisé que ce soit au niveau de mes relations professionnelles ou personnelles pas mal de ces êtres arrogants et bien souvent incapables.

Merci de ta lecture et de ton commentaire Frédéric.

Bises