En réponse à..

Respect et chapeau bas, Madame.
Voilà une œuvre, et non plus un texte, qui distingue l’art du simple passe-temps.
Vous avez su faire la maquette précise d’une grande ville, des ses grandes époques et de ses moeurs.
Bravo, à l’instar du temps vous prolongez la vie.
Vous avez le talent de faire du pavé, le marbre des palais.
C’est Magnifique.
Habituellement, je jalouse les talents que je n’ai pas, mais, comme il est vain de jalouser Monet, Villon et Vian, force m’est de vous lire et de pleurer.

C’est tellement gentil que je ne sais où me cacher pour ne pas vous montrer ma confusion complète et toute rose.
J’aime ma ville, beaucoup et suis heureuse que vous l’ayiez un peu visitée en mots.
A bientôt !!

Je retire ce que j’ai dis, de peur que vous ne vous cachiez.
Oubliez tout et laissez ce visage rosir néanmoins.
C’est dans vos yeux que naissent de tels écrits, ne voilez pas pas un tel charme sous de si piètres lauriers.
J’aime votre talent, il sied à votre regard : profond, déterminé et pourtant si délicat.

Vais-je tout oublier ?
De rosir, d’entendre, de recevoir, surtout de tels compliments ?
Non, je vais en garder l’énergie et la joie qui conviennent pour vous en remercier très chaleureusement. Au plaisir de vous lire...

Et si je ne connaissais pas Bordeaux et que maintenant j’avais l’impression de connaître la ville sur le bout des ongles...
Et si tu nous en ecrivez encore un autre comme ça...

Et si je t’envoyais un portrait de ma sous préfecture ?

Euh.. tu serais super déçue, car je ne connais pas de ville plus impersonnelle. Heureusement que Bordeaux est là, tout près , pour compenser. Contente de t’avoir emmenée en promenade dans ma ville, Delphine et que la balade t’ait plu.

Ravi de cette promenade dans Bordeaux. La guide était trés bien (sourire).
Je réalise que je suis capable de marcher pendant des années dans une ville en ne sachant presque rien d’elle, alors que l’histoire de ses noms de quartier ou de rues est passionnante.
Et si tu nous embêtais ?, En ce qui me concerne, comme on dit chez nous, c’est pas demain la veille.
Bisous.

Et si tu te souvenais de cette superbe soirée à laquelle tu nous avais conviées Sarah et moi qui nous avait permis de découvrir l’auteur de ce livre en Gascon qui s’est battu pour que les noms des rues de Bordeaux soient en gascon ? Non seulement grace à son ex maire elles le sont mais sur le parvis de la cathédrale, toutes les plaques commémoratives le sont aussi, et c’est régal de lire en occitan les privilèges accordés par Jean sans Terre et Aliénor aux bordelais : le droit d’être à la fois français et anglais, unique en france... Et pourquoi ? parce que c’est comme ça ;o))

Et si j’avais oublié ? Non pas du tout, et pour tout dire dés que j’ai vu le titre de ton texte j’ai pensé à cette soirée conférence. Un régal. Heureux que tu aies pu lui donner un écho. Bisous.

Ah, tu vois si j’ai bonne mémoire ;o))