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Douloureuse constations entre un monde immobile et criant famine et un monde, notre monde, qui court, c’qui file mais vers quoi ?

Un texte douloureux Eric sur la misère humaine où tout ceux qui subissent sont les plus faibles. Un très beau poème où les images sont très fortes

oui Aimela, je l’ai intitulé "fatigue" mais j’aurais dû mettre "épuisement". J’ai malheureusement vu ces femmes réfugiées dans les camps au Tchad, on se sent très mal au retour en France quand on entend certains se plaindre.
Amitiés Eric