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Mélancolie
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Mélancolie 23 juillet 2006, waiméa bay IP:e1be94300ad9384c
Et le temps frappe sournoisement, l’air de rien...
Touché par cette lecture.
Amitiés.
Pascal.
> Mélancolie 6 septembre 2005, patrcik IP:108abc4f4c0cb5cc
Fan de Jo Dassin, le titre me scotche et telle la mouche je me mets à tourner (sans déconner, c’est une très belle chanson comme la météo avec des degrés).
Savez-vous que je n’ai jamais raconté une histoire à mes enfants et surtout à ma fille qui m’en a tant demandées ? Je ne saurai jamais me pardonner cette timidité.
Bucolique à souhait, déraisonnable comme un père qui ses enfants ne veut voir partir, agréable par ses rimes découpeuses de phrases, ce texte présente mille facettes séduisantes. Je vous découvre, je vous envie de cette compagne au jardin. Quant à ma fille, je ne préfère rien en dire tant l’inquiétude de la voir partir me dévore.
A un jour près, c’est son anniversaire mais après tout qu’est-ce qu’une journée ? Vous me voyez navré de vous avoir fait attendre.
> Mélancolie 14 septembre 2005, Maxy_Mome IP:e1810614c87ff818
Patrick, vos louanges dithyrambiques me font bien plaisir, mais point trop n’en faut. Sans doute, j’exprime ma part de tendresse pour ma fille avec le souvenir heureux et la perspective angoissée mais chaque père peut aussi se rappeler des jours heureux et craindre l’avenir.
Profitons de l’instant présent (Carpe diem) pour souhaiter un heureux anniversaire à votre fille, ce sera peut-être l’occasion de lui offrir une histoire, sans retenue, sans pudeur. Je suis sûr qu’elle en sera ravie.
Amitiés
C’est bien cette crainte de (leur) avenir qui tord les tripes d’un père (et probablement d’une mère mais je ne parle que de ce que je connais et expérimente
Bref, en tout il faut être franc et sans retenue dire ce que l’on éprouve. Donc, j’ai peut-être été dithyrambique mais je ne regrette rien car ce sujet me brûle l’âme ! Allez, je vous embrasse comme un père !
> Mélancolie 6 septembre 2005, patrcik IP:108abc4f4c0cb5cc
Arghhh (cri du bonarien) me dis-je constatant que je n’avais jamais vu tant de bonoboneries et de commentaires sans le mien. Ne suis-je moi aussi membre de la tribu ? Egaré devais-je être et aujourd’hui je viens ici déposer mon offrande pour réparer mon offense et ma bêtise de m’interroger sur les textes de ce talentueux auteur que je méprisais sans le savoir comme Jourdain son jardin, quand je me rendis compte que j’étais apte à faire de la télé pour savoir commenter sans jamais citer ni l’auteur ni de quoi je causais à part moi.