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Absurdité embrumée.
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Absurdité embrumée. 19 juin 2008, Lucille IP:7a250469308b31b1
hihihihihiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
m’enfin Patrick, qu’est-ce que tu fiches, tu te réveilles ou quoi ?
bien ! (je ne savais pas que tu t’affalais sur tes feuilles)
écoute, sans flatter, j’adore. j’y peux rien.
Absurdité embrumée. 20 juin 2008, Patrick G. Delay IP:3571190cef113510
kiki cause ? Qui ose me réveiller.
Très sympa ton petit commentaire.
Au plaisir de te lire.
Absurdité embrumée. 8 juin 2008, papabul IP:8fd8a73696035063
Amusant comme idée le personnage qui attend noyé dans le brouillard, il attend le réveil de son auteur ou que les brumes de son esprit se lèvent, il attend la suite qu’on lui réserve à sa vie de papier..
est-ce bien cela, maître ?
Le pire c’est que l’auteur est, peut-être lui aussi, dans le brouillard : le décors est planté et maintenant, je vais où ? je l’emmène où ? Qui est-il un flic en planque ou un amoureux écarté, ou simplement un de ces paumés du petit matin chanté par Brel ?
Extrait :
Ils se blanchissent leurs nuits
Au lavoir des mélancolies
Qui lave sans salir les mains
Les paumés du petit matin.
Ils se racontent à minuit
Les poèmes qu’ils n’ont pas lus
Les romans qu’ils n’ont pas écrits
Les amours qu’ils n’ont pas vécues
Les vérités qui ne servent à rien
Les paumés du petit matin...
As-tu prévu une suite pour éclairer le lecteur que tu laisses, lui aussi, sans laisse et dans le brouillard ?
Amicalement,
Frédéric
Absurdité embrumée. 8 juin 2008, Patrick G. Delay IP:5598f90f1a1e6441
A quoi bon une suite. Tu viens de l’écrire de ton analyse plus que pertinente. Au premier degré un personnage de fiction qui essaye de réveiller son auteur, au second une tentative de prise de conscience.
J’adore tes références à Brel.
Une suite pour éclairer le lecteur, tu n’en a guère besoin, tu m’éclaire.
Au plaisir de te lire.
Ce petit texte est en fait un fulgure, pas de suite de prévue.
Absurdité embrumée. 5 juin 2008, Aimela IP:e78eceba12984bdd
Si l’auteur dort qui va écrire la suite ? Pas drôle de perdre l’inspiration mais quand cela dure, c’est pireen plus cela se répand ce virus de la page blanche. plus grand monde sur la plume
Absurdité embrumée. 5 juin 2008, Patrick G. Delay IP:7319d6206dcadaa1
Mais ma chère Aimela petite sorcière, ce n’est pas par perte d’inspiration que j’ai écrit ce petit texte... C’est une idée fulgurante qui s’est imposée à moi. Allez, jouons un peu, donne-moi un sujet et je t’écris un texte.
Comment ! Ce n’est pas encore fait... Et ta baguette magique !
Au plaisir de te lire et ne t’en fais pas... Les auteurs, ça va ça vient et quand ça vient, ça va.