En réponse à..

Hello Patrick, content de te revoir avec une nouvelle (métaphysique) hilarante et très enlevée, bouillonnante de jeux de mots très réussis. Il y en avait peut-être trop pour le jury du concours et la chute (de l’ange déchu) manque un peu d’hauteur (élision hasardeuse).
Je dis ça, je dis rien ... je ne me le permettrais pas si je ne te savais pas talentueux zauteur.

A bientôt.

Ô public bien aimé. Que ne faisais-tu partie de ce jury.

Élision hasardeuse dis-tu... mais Élie n’a rien à voir là-dedans.
Merci pour ce commentaire chaleureux... C’est qu’on se les caille en enfer depuis que la chaudière est tombée en panne.

Merci à toi, avec quelques mois de retard et au plaisir de te lire.

Dommage que tu ais conclu trop vite mais pas évident des fois d’écrire long, on finit par se perdre nous même ou alors plus d’inspiration, en tout cas j’espère qu’elle n’est pas partie avec la chaudière usée.

Bonsoir à toi re-Aimela.

Écrire long... Tu sais, rien ne me rebute, écrivain sans peur et sans salaire (salaire de la peur, bien entendu) j’écris en long, en large et en travers... surtout de travers.

J’ai commencé un roman de cinq cents pages. J’ai déjà écrit le mot FIN. Sinon, j’en suis au début du second paragraphe de la page deux du chapitre I. Sur la page une du dit chapitre, j’ai écrit : Chapitre I.

Merci d’avoir été jusqu’au bout de l’histoire de voir comment j’allais m’empêtrer dans ma fin, qui, la faim se faisant sentir, a été une fois de plus bâclée. Deux heures pour bâcler une fin... faut le faire tout de même.

Bisous et au plaisir de te lire.

Bon, honnêtement je préférais la première partie. Tu avais peut-être trop donné ? Y a une suite ? JC

Salut Jean Claude, bon j’ai posté en deux fois parce que ça dépassait les 6000 caractères mais tu détiens certainement la clé de non insuccès, la fin n’est pas à la hauteur.

Au plaisir de te lire