En réponse à..

Une histoire comme un fait divers, quand la violence sauve l’amour.
En amour, il est si facile de se laisser aller dans la routine, croire que l’autre sera toujours là, fêter la Saint Valentin par habitude le 14 février en oubliant qu’elle se fête un peu chaque jour par les petites attentions du quotidien.
Amicalement
Sylvie

Bonsoir Sylvie,
1000 excuses pour le retour tardif à ton commentaire. Je suis assez d’accord avec toi pour dire que la présence de l’Autre n’est jamais à considérer comme un "acquis". Je préfére, sans conteste, les petites attentions du quotidien qui sont véritablement expression de l’attention que l’on porte à l’Autre. Amicalement. Thierry.

Une "histoire" originale et inventive comme je les aime et qui sollicite l’imagination. C’est réussi et la "morale" (?) est sauve ! avec une "fin" qui reste ouverte : à chacun d’imaginer la suite.
Comme quoi à quelque chose malheur est bon.
Et on réalise son attachement à quelqu’un, même si le couple est "cassé", quand on a risqué de le perdre.
Bien vu !

Bonsoir Guido.
Oui, à chacun d’imaginer la suite... Quant à la "morale" il faut voir avec la suite de chacun. Quant à l’Autre il faudrait toujours le regarder comme si on allait le perdre...
Amicalement.

Le pire a failli se produire, heureusement que la voiture a servi pour un "casse" Très bon texte, on suit le trajet de bout en bout

Bonsoir Aimela.
Le pire a failli se produire ; mais seulement failli. Si on savait tout... Amicalement.