En réponse à..

J’ai retrouvé le chemin de tes mots et comme à chaque fois la magie opère et je me suis assise près de cet homme... peut être parce que souvent je vais plonger mon regard sur l’horizon là bas de l’autre côté de l’océan... juste pour m’imprégner de cette paix que je trouve dans la régularité du mouvement des vagues qui vont et viennent sur le rivage...
Petits grains de sable dans l’univers se sentir vulnérable et repartir conscient de l’immense beauté du monde...
Je te souhaite le meilleur mon ami de là bas...

J’ai aussi retrouvé tes commentaires qui me vont droit au cœur,tu trouves toujours les mots qu’il faut pour apaiser l’âme et lui donner cette sérénité tant recherchée,merci à toi chère amie.

Joli poème aux phrases courtes comme une succession de vaguelettes qui s’échouent sur le sable après un long voyage. J’aime beaucoup :
"Lorsque le soleil plonge
Dans l’implacable gueule
Du grand bleu "
Comme s’il venait s’y baigner pour se reposer avant de renaître pour un nouveau jour.
Amicalement
Sylvie

Merci Sylvie d’avoir aimé ce texte,ton commentaire me va droit au cœur,amitiés

Ton poème me fait penser au Cimetière Marin de P.Valéry et j’aime bien tes trois vers : Dans l’immense cimetière de l’oubli, l’océan lui est toujours occupé à composer des vagues ... " la mer , la mer toujours recommencée" disait Valéry.
C’est un texte très métaphorique avec les abysses du passé mais c’est Nietzsche qui disait que celui qui plonge longtemps son regard dans l’abîme, l’abîme le regarde aussi ...
Ce texte est dense avec de belles images mais le titre aurait peut-être gagné à être plus "puissant".

Merci Guido d’etre passé me lire et apprécier,amitiés