En réponse à..

Une bonne histoire. Très bonne même. De celles qu’on aurait aimer trouver. Bravo.
De bons personnages, qu’on aurait aimer créer, mais à qui on aurait donné des noms moins "volontairement ringards" que Gérard et Françoise et les autres.

Alors, avec tout cela, pourquoi ça ne marche pas ?
Parce qu’il n’y a aucun style !!! Rien de rien ! Pas une once de volonté littéraire ! Pas un gramme d’envie de faire de belles phrases, de faire chanter et danser les mots. Pas un clin d’œil complice ! C’est plat ! Quel dommage !!!

D’un coup, en écrivant cela, j’ai peur ! Et si, au contraire, tout cela était voulu ? Et si c’était un style ?
Ah ben merde !!!

Bien entendu, je ne suis pas là pour t’agresser, auteur. Je ne te connais pas, n’ai probablement jamais rien lu de toi auparavant, et je sais (très bien, trop bien) quel temps il faut pour écrire un texte si long, sans parler de sa maturation.
J’espère pouvoir lire, très bientôt, d’autres textes de toi, auteur.
Mais pas comme celui-là !

Je m’excuse d’être assez brusque ici, mais je pense qu’il faut dire les choses, pour qu’elles se "corrigent", qu’elles ne perdurent pas. Et l’inventivité entrevue dans cette histoire laisse à penser que de très bonnes choses sont à venir.

Je peux te proposer d’en reparler par mail si tu le souhaites.

Bien cordialement

"je sais (très bien, trop bien) quel temps il faut pour écrire un texte si long, sans parler de sa maturation"

Pour deux heures, tout compris, ce n’est pas cher payer. Mais je ne doute pas qu’il faille à d’autre un temps fou pour pondre moins convainquant encore...

Bonjour Patrick,

j’ai bien aimé cette nouvelle et notamment les portraits que je trouve très réussis. Une "épopée fluviale" qui fait parfois penser à l’immensité des eaux qu’on peut trouver chez Pierre Loti que je pense relire bientôt.
Je trouve que c’est bien écrit, vraiment, mais me permets une remarque personnelle qui n’engage que moi et ma sensibilité. Je trouve dommage, qu’à un moment, tu interpelles le lecteur en faisant intervenir le narrateur directement : "En cet instant du récit, il faut prendre le temps de lire ce que le destin nous soumet ici". Cela me semble lourd, maladroit et inutile. Le lecteur lit et suit et appréhende le reste d’une manière plus subtile, alors pourquoi une telle interruption ? Elle casse complètement le rythme.
Ceci étant, l’ensemble est une merveille et t’en félicite.

Au plaisir de te lire à nouveau et bienvenue parmi nous.

Maya

bonsoir

les vacances en famille, rien de tel !

une nouvelle bien menée, des personnages fignolés

même ...même si à cause de cette lecture, je me souviens d’un été en "penichette" à touristes qui n’a pas été plus réussi !!

mais ceci ne m’a pas empeché de rire

merci !