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Chemin
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> Chemin 15 juillet 2005, Dominique IP:a6f6170e8eb981d0
Quel que soit le but, il faut gravir le chemin qui y mène, et celui-ci est bien beau. Et au bout du chemin est la récompense, le bonheur.
J’ai aimé ce chemin entouré de mots de cristal.
Bisous.
> Chemin 16 juillet 2005, Viviane IP:67f032c0ba68fc45
Au bout du chemin est la source oubliée, la terre qui veut le tour du potier, la pierre qui se laisse ouvrir..
j’aime beaucoup cette évocation des mots cristal. Transparence, nous devons être transparence.
Bisous Domi...
> Chemin 13 juillet 2005, Luc Comeau-Montasse IP:5282efd0996c332d
Un poème chemin lui même ... vers la joie
et qui donne à toucher ce qu’il faut de ruine pour qu’un autre monde soit possible.
(je me suis refusé la seconde lecture avant d’écrire ce commentaire à chaud)
Me plaisent particulièrement
certains alexandrins finement ciselés
et qui font corps avec l’ensemble du poème
la pointe fin du poème
qui désigne le lecteur
et le renvoie à sa promenade
et sa capacité de créer des
chemins.
C’est très beau Viviane.
> Chemin 13 juillet 2005, Viviane IP:d354a0d37c4af75e
Merci, Luc, d’avoir vu le chemin et entendu la joie.
Terrible beauté des ruines nécessaires à toute métamorphose.
Mais aussi urgence de comprendre que nous avons besoin les uns des autres pour aller au-delà du simplement « survivre » dans lequel sont enfermés tant et tant qui nous ressemblent.
Redevenir potiers, forgerons ou Indiens, renouer avec ce qui nous vient de si loin et n’attend plus que nous pour continuer de vivre.
A bientôt, Poète
> Chemin 12 juillet 2005
Je m’effraie toujours de mille commentaires déposés, peur de les survoler et de me laisser influencer. Et puis après ? Et puis surtout l’impression de venir "après", comme si de déflorer un texte arogeait le droit d’en déguster plus intimement l’essence. Mais passons... non je reste : j’ai envie de Toi.
"Sur les ponts et les murs" partout où Ta plume ira, j’irai aussitôt et potier je deviendrai pour lisser ma passion de Tes mots.
A nouveau Viviane embaume ce site mais est-ce nécessité de se répéter ?
> Chemin 12 juillet 2005, patrcik IP:249ab8a85b0f6d9e
Dérouté je suis par vos mots que j’en oublie mon propre nom... ainsi sera corrigé pour que vous acceptiez mon baiser.
Le baiser s’est posé sur ma joue
Elle en est toute rose.
Merci Patrcik !
Et Tu seras les mains et je serai la glaise
Et jusqu’au point du jour nous tisserons la chair
Puis chercherons la source dont la brume apaise
Le si bel aujourd’hui qui s’enfuit vers l’hier...
Merci à Vous dont la présence me manquait...