En réponse à..

L’une et l’autre à la fois, Maouriane. Nous avons sans cesse à faire des ponts entre nos vies parallèles, celles que l’on se rêve, celles que l’on vit : un vrai défi quotidien mais quelle richesse ! Merci de nous rappeler que nous sommes à la fois des petites fourmis qui s’agitent à la surface de la terre et de fabuleuses machines capables de rêver.

Eh oui, l’homme est une superbe machine !
Merci Cassiopée.
Amitiés
Maouriane

Des tranches de vie, reflets dans les miroirs, le quotidien dans ce qu’il a d’extraordinaire, banal apparemment, surprenant de temps en temps. Ca pourrait être n’importe qui, tout le monde et surtout personne.

Est-ce qu’on finit un jour par se connaître-soi ? Est-ce que, mis bouts-à-bouts ces petits rien du tout forment un tout ?
Je ne crois pas connaître mes amis, mais je les ‘sens’, assurément. Je crois que c’est l’émotion qui nous rapproche et la raison qui nous sépare…

J’aime beaucoup ce découpage, je t’assure, ça forme un caléidoscope qui nous ressemble. On est tout, on n’est bien peu de chose, on se surprend d’un rien mais qui nous remplit...

papabul

Voilà, tu as bien ressenti ce texte ; je le voulais comme un caléidoscope !!
en effet on ne se connaît jamais soi même ; je me demande si on ne connaît pas mieux ses amis !!! Rire...
Amitiés
Maouriane

une vie comme beaucoup
écartelée entre des quotidiens et des désirs de lune

merci

Eh oui, Ris ! des désirs de partance, de mouvance, de cieux étoilés.
Amitiés
Maouriane