En réponse à..

J’attendais que tu déposes la troisième partie afin de pouvoir lire ta nouvelle d’une traite !
Tu as reconstitué avec talent la société, l’esprit et les mœurs de cette époque et cela a dû te demander un important travail de fond. Ta narration est vraiment de qualité, naturelle et fluide. J’imagine sans peine le temps que tu as dû passer sur ton texte. Et moi qui en suis un fan, ta nouvelle me fait penser à du Maupassant.
Ton histoire est très "rassurante" : d’un côté les sentiments sincères et la vraie générosité d’un milieu modeste avec au bout le bonheur dans l’amour désintéressé après les épreuves, et de l’autre un monde de nantis au cœur desséché, avec ses apparences qu’il faut sauver, ses vanités et ses hypocrisies.
Triste vie pour Anne qui n’a pas le courage de se "sauver" comme l’héroïne du Titanic (!) : de nos jours elle serait partie - quoique le pouvoir de l’argent dans notre société ... - mais à l’époque...
Finalement j’aurais aimé que ton histoire fut un peu plus longue ! En tous cas je découvre que tu es aussi une "conteuse" et ce n’est pas un art facile.

Bravo Aimela et ... encore !

Quel gentil compliment Guido, je suis très touchée, merci infiniment

Je ne fais que passer Aimela, pour corriger la faute que j’ai faite dans mon commentaire : "comtesse" serait mieux avec un "m", non ? Désolée...

Tu n’as pas à être désolée , tout le monde commet des fautes et crois moi, j’en suis la première et le pire c’est que je ne me relis pas ou à peine Bonne journée

Je viens de terminer la lecture de cette troisième partie et ma foi, une histoire qui se termine bien, de nos jours oserais-je dire, c’est si rare, du moins dans les textes écrits, que je l’apprécie pleinement. Cela dit, je suis quand même un peu inquiète pour cette Madame de la Tour... pas vraiment heureuse sa vie. Ne pourrais-tu pas imaginer une suite ...? Très bonne soirée. Annie

Que cela soit à la télévision, dans les livres tout est noir comme s’ il n’y avait plus d’espoir. Est ce le temps, la crise qui fait ça ? Je n’en sais rien alors pour qu’il y ait une petite, toute petite lueur d’espoir, j’ai fait une fin heureuse Merci Annie