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j’aime bien cette idée d’une autre rive, cela fait moins de mal que le néant. Alors de cette autre rive Fred nous regarde et peut-être nous envoie t il des signes amicaux qui sait. Merci Jean-Claude de ta petite chronique

Bonjour Aimela ! L’autre rive est en effet une manière moins morbide d’appréhender ces départs qui se succèdent tout au long de nos vies mais ça ne change rien à la réalité si cruelle... Merci pour ton com. Amicalement. JC

Bonjour Jean-Claude,
J’aime le titre de cette chronique "Sur l’autre rive". Je trouve que cette perspective de penser qu’il y a une autre rive allège la douleur. Et puis, qui peut prouver qu’elle n’existe pas ??? Pouvons-nous même concevoir ou imaginer comment elle est ? Mais de savoir qu’il y en a une rassure je trouve. Je fais connaissance peu à peu avec les textes de Papabul et je suis certaine qu’il aura trouvé une place de choix sur cette autre rive. Merci Jean-Claude de nous offrir la possibilité de penser de cette façon.

Bonjour Amie Annie ! Je n’ai fait qu’emprunter à Théodore cette rive dont il parlait si souvent dans ses ouvrages, un genre de métaphore sans connotation religieuse bien que Monod était un protestant pur et dur, mais je crois tolérant... Peu importe les croyances, je préfère cette autre rive au néant et, comme tu le dis si bien, qui sait après tout ce qui nous attend de "l’autre côté" !
Merci pour ton commentaire. Amitiés. JC

Autant en emporte le temps...
Très bel hommage JC, empreint de douceur et de respect. Il est des êtres dont la trace est plus présente que d’autres parce qu’ils nous rendaient meilleurs et plus intelligents ; le simple fait de savoir qu’ils existaient, quelque part sur cette planète, nous rassurait. Alors, quand ils nous quittent, on se sent désemparé mais je crois, comme Guido, que l’insaisissable reste, celui qui nous fait mal, et celui qui nous rassure...
Merci JC.

Bonjour Cassiopée ! Je crois que tu as trouvé les mots justes... Le seul fait de savoir qu’il était là, avec sa gentillesse et son humanité, me rassurait dans ce monde où tout est bâti sur l’intérêt et l’égoîsme... Lui, même s’il n’était pas bien sûr le seul dans ce cas, sortait du lot, et chaque texte, commentaire ou mail de sa part était un cadeau dont je mesure encore mieux aujourd’hui l’importance... Merci Cassiopée pour cette intervention !
Amitiés. JC