En réponse à..

Prise dès les premiers mots. Jolie et très douce émotion. Quelle belle simplicité et la fin est merveilleusement sereine.
Je ne regrette pas d’être passée, un très agréable moment.

Merci pour ton passage et ton commentaire Valérie. Ce n’est qu’un petit, tout petit morceau de cette mosaïque qu’est toute vie. Pas mal d’épisodes sont ainsi écrits et dispersés au gré de mes dispositions à prendre la plume mais c’est si vaste etje n’ai pas encore trouvé la façon de tout agencer pour que l’ensemble me plaise. Très bonne soirée à toi ! Amicalement ! Annie

C’est une très belle histoire tant sur le fond que sur la façon vivante, imagée et naturelle de la raconter. Et beaucoup d’entre nous ont rêvé ou rêvent encore d’un tel "voyage" à deux. Quelle "chance" !... mais non ce n’est pas de la chance mais de l’amour et de la détermination avec le profond sentiment de ne pas se tromper, pour vaincre en l’occurrence certains préjugés, les préjugés raciaux et religieux étant les plus difficiles à dépasser d’autant qu’ils existent des deux côtés.
L’amour est bel et bien un "dépassement" y compris de soi.
J’ai bien aimé la seule vraie question posée par ton amie Gisèle : " Es-tu prête à le laisser et ne plus le voir" : tout le reste n’étant que "calculs" et justifications qui n’ont rien à voir avec les ressentis.
Comme tous les couples vous avez sûrement dû aussi traverser des difficultés d’autant que chacun sait que l’existence n’est pas un conte de fée ... mais le "fond" était là : vous ne vous étiez pas trompés.
Quant à ta question finale, est-il important de savoir si c’était écrit ou pas d’autant que la réponse dépend des convictions de chacun et, en l’occurrence, c’est ta / votre conviction lorsque tu l’as rencontré- et encore aujourd’hui intacte - qui était fondamentale.
Une autre fois tu nous raconteras peut-être ta vie en Afrique dont, comme Jean-Claude, j’ai gardé le "virus". Sourire.
Guy

Bonjour Guido et merci pour ton commentaire. Bien sûr les hauts et les bas, les joies et les peines ont fait partie de notre quotidien, la vie est ainsi faite, l’essentiel est de garder le cap dans la tempête et de ne pas se laisser dérouter par les sirènes avoisinantes qui très souvent n’ont qu’un objectif : vous faire chuter. Et là on ne peut compter que sur soi-même et personne d’autre.
Je ne suis pas étonnée que tu aies gardé le "virus" de l’Afrique. Quant à raconter... il y a tant et tant de choses, je n’ai pas encore fait le "tri", peut-être un jour. Annie

Que dire devant ce très joli texte ? Il m’a beaucoup ému par tant de simplicité, de franchise et tant d’amour. Merci infiniment Annie

Merci Aimela. Très touchée que tu aies été émue par l’histoire. Elle me semble pourtant toujours, même aujourd’hui, si simple. Annie