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Bonsoir François,
je viens de terminer la lecture de ce long poème. Description réaliste de notre monde. J’ai particulièrement apprécié "le litige des médias" :

"...diffuser les mensonges de l’exceptionnel
Qui ne sont qu’une vue de mythes artificiels".

La quatrième strophe comparant les maux de la nature aux maux qui atteignent les êtres vivants m’a aussi bien plu.
Et cette interpellation :" Humain, êtes-vous conscient de cette chance : vivre..." parfois en effet il semble qu’on l’oublie. Pauvres petits humains en foule compacte écrasés par un ciel rougeoyant, tourbillons de feu... que sommes-nous vraiment ? Merci François de nous le rappeler afin que l’on puisse apprécier chaque instant qui passe.
Annie