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Bonjour Annie ! Un texte que j’avais déjà lu mais qui ne me laisse pas indifférent... Un dernier hommage à Marité, ta maman si tôt, trop tôt disparue. Ca me rappelle une autre maman, non pas la mienne que j’ai eu la chance de garder très longtemps, mais celle d’une amie qui n’a jamais vraiment fait le deuil de sa mère emportée par la maladie alors qu’elle avait trois ans... Comme le dit la chanson, ma maman, c’est une maman comme toutes les mamans, seulement voilà, c’est la mienne...Il y a des cicatrices qui ne se referment jamais. Merci pour ce doux et poignant poème... Amicalement. JC

C’est vrai qu’elle m’est revenue en plein cœur, il n’y a pas très longtemps, un dimanche après-midi lorsque j’ai écrit ces mots et pourtant c’était il y a plus de 50 ans. Merci à toi de si bien comprendre. Annie