En réponse à..

Laissez moi vous offrir ce frais bouquet de roses
Qu’elles puissent vous dire le charme subtil
Qui emporte mon âme en de rêveuses iles
Lorsque sur vos poèmes mon regard se pose..

bravo Moun, j’aime beaucoup la douce sensualité de ce poème, beaucoup...

Je te remercie Viviane. Touchée par cette "main-levée" offerte. Un beau témoignage d’une grande poétesse. Je ne vais pas bouder mon plaisir.
Bonne soirée et au plaisir de te relire
Amicalement

Curiosité oblige (comme toujours et je crois que cela va devenir ma phrase d’intro à chaque fois ;o)), je suis allé voir la photo.
Ton Printemps est douceur et élégance pas toujours comme celui d’ile de France qui commence par te gifler la figure de son vent glacial, pui, las, fini par s’allonger dans l’herbe rimée de rosée et s’endort en faisant éclore les premières fleurs..
Ton printemps ? Je l’adore ! ;o)

Bonsoir Bernard,
Je te remercie pour ton commentaire chaleureux Parfois les métaphores aident à passer un printemps pas toujours rayonnant. Et si je te disais que ce poème a été écrit à Aurillac juste une touche d’humour car Aurillac a l’ensoleillement de Toulouse en plus de la beauté médiévale et de toutes les richesses culinaires et il ne faut pas se fier à la météo TV (le relais se trouve en hauteur, en plein vent d’où les températures souvent froides annoncées)... tiens un petit lien pour admirer le paysage http://la-boite-a-secrets.over-blog.org/album-33096.html il y a même la reine du Cantal . Depuis un mois, je réside à Carcassonne (oui j’aime les châteaux) et je n’ai pas encore goûté au printemps de la région mais avec la tramontane, ça doit pas être tip top
Bonne soirée, bon feu d’artifice et bonne fête nationale et merci pour les sourires

Laissez-moi... laissez-moi vous dire que de ce "ils convient" j’attends plus de clarté car est-il "il convient" (comme il me sied) ou "ils conviennent" (qui dérouterait la musicalité de votre déclaration, reconnaissons le sauf à le rendre muet).

Laissez-moi... mais que non ! J’aime cette ritournelle (excusez l’offense) quasiment obsolétante mais point navrante. Et à l’image du printemps, à mon tour je m’épanouis pour me risquer à vous proposer une bise (comme la brise) légère.

Merci à toi Patrcik
Voici un indice : lis en pensant au verbe "convier"
Merci pour la bise-brise avec la chaleur qu’il fait, ce n’est vraiment pas de refus ...

Bonne soirée et merci pour les remarques pertinentes mais si parfois... Je te taquine évidemment

Amitiés

Pétri de mes convenances, j’avais fait omission d’un verbe profondément généreux : convier et non convenir (vous en conviendrez aisément). Alors je me dis que de ma bêtise vous devez rire car j’aime cette couleur pourpre que prennent vos joues et qu’en tout cas je reste épris de cette première syllabe !

Permettez-moi de vous convier (si cela vous convient) à ce délicat plat que devient le précédent commentaire (que voulez-vous j’aime plonger et non faire la plonge).

Bravo pour l’humour ! Un sourire sans moquerie en retour... si cela te convient, je te convie à l’accepter
))

Bonne soirée