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Bonjour chère Aimela ! En très peu de mots, bien pesés, tu as fait de Simon le symbole universel des peuples opprimés et massacrés à travers le monde, hier comme aujourd’hui et sans doute, malheureusement, encore demain...
On ne le criera jamais assez et pour cela je te remercie...
Amicalement. JC

des peuples opprimés, il y en a eu, il y en a encore et comme tu le dis si bien, cela continuera encore demain. je me demande quand tout cela se finira. Combien faudra t’il de morts pour que tout cela cesse ?

Merci Jean-Claude

Bonjour Aimela,
En trois paragraphes bien équilibrés tu déroules sous nos yeux la vie de Simon, un enfant élevé simplement mais à qui ses parents ont transmis de saines valeurs.
Combien de "Simon" sont-ils ainsi tombés, affrontant sans crainte les fusils pointés sur eux au nom de leur idéal ? Et les "Simon" les plus courageux sont, en majorité, issus des milieux les plus modestes... Et ce sont souvent ceux qui viennent de milieux nantis qui envoient en première ligne ces enfants incapables de fuir et de trahir.
Merci Aimela de rappeler à nos mémoires ces héros anonymes dévoués corps et âme à défendre leur cause. Amitiés. Annie

Merci de ton double commentaire Annie

Bonjour Aimela,
En trois paragraphes bien équilibrés tu déroules sous nos yeux la vie de Simon, un enfant élevé simplement mais à qui ses parents ont transmis de saines valeurs.
Combien de "Simon" sont-ils ainsi tombés, affrontant sans crainte les fusils pointés sur eux au nom de leur idéal ? Et les "Simon" les plus courageux sont, en majorité, issus des milieux les plus modestes... Et ce sont souvent ceux qui viennent de milieux nantis qui envoient en première ligne ces enfants incapables de fuir et de trahir.
Merci Aimela de rappeler à nos mémoires ces héros anonymes dévoués corps et âmes à défendre leur cause. Amitiés. Annie

Il y a énormément de Simon dans le monde entier qui se battent pour leur liberté et hélas ils tombent en première ligne car ils n’ont que leur cœur à offrir. Merci Annie