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Quel tableau se dessine au fil des vers Jean-Claude ! Comme toujours, des mots simples mais si bien ordonnés que, la lecture terminée, flottent dans notre esprit les arbres malmenés, la barque emportée par les flots déchaînés, et les "grands oiseaux d’argent". Spectacle impressionnant et magnifique. J’aime penser qu’ils ne sont pas en colère contre Eole... Merci pour ces images en mots. Amicalement Annie

Bonjour Annie et un grand merci pour ton commentaire !
Oui, c’est un tableau peint avec des mots, une des multiples facettes que nous offre la nature quand on se donne la peine de la regarder... J’aime les tempêtes vues du rivage ! Ca nous ramène à ceux que nous sommes, bien peu de choses en somme... Je te souhaite un très bon dimanche !
Amitiés. JC

Bonjour JC,

C’est, pour moi, un de tes sonnets les plus aboutis : il y a du père Hugo et de Hérédia là-dedans ! Les mots et le rythme,au service du vent déchaîné rendent les images très parlantes. La question que tu poses est intéressante et on peut supposer que la réponse est : un savant mélange de colère, de peur et de "jubilation" d’en découdre.
Bel été à toi.

Bonjour Cassiopée ! Hugo, De Hérédia, comme vous y allez ma chère ! Non, en fait je trouve que la chûte dans le dernier tercet n’est pas suffisament claire ; à mon avis, les vers 12 et 13 cassent un peu la suite logique des vers 11 et 14 qui perdent de leur puissance... Comme tu l’as certainement déjà remarqué, il y aura sans doute des modifications à venir mais, quoi qu’il en soit, je te remercie pour ton appréciation que je sais sincère ! Je regrette que sur La Plume il n’y ait pas plus de critiques de textes, dans un sens comme dans l’autre... Il faut dire que la majorité des lecteurs sont extérieurs au site et, bien sûr, ceci explique celà ! Bonne journée et encore merci pour ta lecture et ton com. toujours le bienvenu ! Amicalement. JC