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Bonjour Jean-Claude !
Grouchy et Blücher ne me disaient trop rien. Waterloo oui mais restait en ma mémoire seulement le mot « défaite » et vaguement Cambronne. Alors j’ai révisé (avec le dictionnaire) et là franchement, si nous avions eu des textes semblables à l’époque, j’aurais peut-être un peu mieux retenu les détails des évènements de l’Histoire.

Dans la foulée, j’ai pu alors apprécier pleinement ce sonnet qui me rappelle Victor Hugo et la « retraite de Russie » écrite aussi en alexandrins. Voici une leçon d’histoire que je n’oublierai plus : les Anglais alliés aux Prussiens pour battre Napoléon à Waterloo … Je n’avais retenu que les Anglais, aucun souvenir des Prussiens. Chaque strophe nous fait suivre la progression de cette célèbre bataille. Merci Jean-Claude et très bonne fin de journée. Annie

Re Annie ! Merci pour ton commentaire... Pas facile de résumer en quatorze vers la bataille de Waterloo mais l’objectif était plutôt de revenir sur le fameux mot de Cambronne, un mot qui n’a dans la langue française qu’une rime possible en "erde", le verbe perdre conjugué au présent du subjonctif, c’est à dire "perde".
C’était un peu le challenge de ce sonnet classique mais irrégulier...
Le comble c’est que cette bataille s’est déroulée un 18 Juin (1815 pour info), une date, hormis l’année, qui rappelle un autre fait historique...
Bonne soirée et merci pour ton passage. JC