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La gêne
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La gêne 19 juillet 2015, Freya IP:7e6a09b726f001e3
Le début d’une relation est toujours merveilleux, quelque chose en nous à tant besoin d’y croire. Et puis le temps passe et pas toujours dans le même sens ni le même désir du quotidien et les petits mots ou petites phrases font mal, de plus en plus mal. Souvent on doute "ne voit-on pas le mal là où il n’y en a pas", mais ce que l’on ressent n’est pas une illusion.
Merci pour ces lignes
Amicalement
Sylvie
La gêne 24 juillet 2015, Maya IP:75db7ba9bf357437
Oui, ce que l’on ressent n’est pas une illusion... Je pourrais faire de cette phrase de toi une belle citation, tant elle est juste.
Merci de ta lecture.
La gêne 24 mai 2015, Annie IP:052b4515baeb7757
Hello Maya ! Je viens de relire ce texte (c’est parfois difficile d’accrocher "la Plume" avec ma connexion) et constate que sans "Liberté" de choisir, de penser et d’aimer,l’être humain peut se flétrir. Car la liberté ce n’est pas s’en aller n’importe où, sortir avec de multiples ami(e)s. C’est, enfin je crois, pouvoir se laisser aller à des pensées, des rêves, des activités au gré de nos humeurs sans être "bridé" par les jugements et propos négatifs d’un ami ou d’un compagnon qui n’accepte pas les différences de tempéraments, car c’est bien de cela qu’il s’agit n’est-ce pas ? Quel dommage et que faire pour s’épanouir ?
"... Il lui interdisait presque de faire ce que bon lui semblait..." là, c’est une forme d’esclavage psychologique ... enfin, je trouve. J’espère que la jeune femme n’est qu’un personnage imaginaire. Excellente journée à toi ! Amitiés sincères. Annie
La gêne 27 mai 2015, Maya IP:352ebeb64786569f
Bonjour Annie,
tu as très bien compris ce texte que je pense avoir mal écrit... Il ne s’agit pas vraiment d’un personnage imaginaire. Je me suis inspirée de ce que j’ai pu entendre. Fort heureusement, dans la réalité, l’amie a fini par quitter son compagnon.
On se lance parfois trop vite dans une relation quand on est jeune, sans réaliser sur le coup avec qui l’on est. C’était le cas de cette jeune femme qui a beaucoup souffert. Dans mon texte, je dis qu’elle n’osait se confier. Sans doute parce que ce dut être le cas un temps...
C’est vrai que certaines femmes souffrent psychologiquement. On parle souvent des violences physiques, mais on oublie aussi les violences psychologiques.
Merci de m’avoir lue, chère Annie.
Excellente journée à toi aussi.
A très bientôt.
Maya