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Bonjour Freya ... je ressors toute bouleversée par tes mots et brusquement me prend l’envie d’être toute proche de toi pour t’insuffler quelques forces, amener un sourire et un souffle d’air frais sur ton visage et dans ton âme qui, quoique tu puisses penser ne meure pas c’est une conviction profonde chez moi. Arriverais-je à te convaincre ? Je ne sais pas mais sache qu’après cette lecture mes pensées seront orientées vers toi avec toute la force et bienveillance qu’il me sera donné d’avoir. Je t’embrasse de tout cœur. Annie

Merci beaucoup Annie pour tes mots.
J’ai pas mal de soucis depuis quelques temps qui m’alourdissent encore mon quotidien. Je n’arrive plus vraiment à me dire que demain ça ira mieux, ou qu’il est bon de voir encore le soleil se lever.

Amicalement

Sylvie

Freya,

Jean-Claude a raison.Tes mots trouvent un écho fort en nous, car tu as toujours été transparente au travers de tes écrits. Il faut continuer d’écrire et de nous écrire. Je sais que cela fait du bien et que cela est porteur de sens. Ne te décourage pas.

Bien amicalement.

Maya

Merci beaucoup Maya, tes mots me touchent et ton soutien une aide.
Il est toujours difficile de côtoyer des personnes en dehors de notre quotidien quand leurs œillères malheureusement sont bien là.
L’écriture a toujours été une façon de m’exprimer qui me fait du bien même si parfois les coucher sur le papier est douloureux.

Amicalement

Sylvie

Freya, mon amie, j’en ai les larmes aux yeux ! Chez moi tes mots trouveront toujours un écho, aussi, je t’en prie, continue d’écrire...
je connais ta situation, de loin il est vrai, mais je partage ton combat depuis des années...
Ne lâche rien, le printemps est là !
Je t’embrasse... Ton pote, JC !

Merci beaucoup Jean-Claude pour tes mots.

Je traverse une période difficile et j’ai bien du mal à supporter certaines "jalousies" très bêtes de gens qui travaillent et ne voient que le fait que je ne travaille pas.
Le fait que je ne puisse plus travailler alors que j’en ai encore l’âge et que je n’ai pas arrêté ni par envie, ni par plaisir, ne les effleure même pas.
La seule chose qu’elles voient est que je peux, d’après elles faire ce que je veux quand je veux. Les effets secondaires que je subis dans mon quotidien, elles ne veulent pas l’entendre (j’en dit d’ailleurs très peu, car ça les dérange et pour elles je me plains), et donc encore moins le comprendre.
Heureusement les miens sont toujours à mes côtés, même si je culpabilise de leur imposer parfois certaines de mes contraintes.

Je t’embrasse
Sylvie