Le film « Da Vinci Code » a été interdit en Chine populaire pour d’obscures raisons de protectionnisme du cinéma national ; en l’espace de quinze jours il avait il est vrai « fait un tabac » selon la formule consacrée. Les catholiques chinois se frottent les mains, les gérants de salle qui l’avaient à l’affiche font bien sûr la gueule et Jésus, qui là bas est tout de même en liberté surveillée, ne doit pas en revenir d’avoir trouvé des défenseurs dans le dernier grand bastion du communisme mondial.
Comme quoi il ne faut jamais jurer de rien !
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La Chine de Jésus
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