Marionnette, marionnette, petite marionnette...
Tu souris et tu t’évades, tu t’enfuis et tu décides. Tu débats, tu chantes, tu ris, tu voles, tu aimes, tu impressionnes. Tu es aimée, tu vis, tu continues, tu écris, tu construis ta vie, au théâtre, ô théâtre, une comédie, ta comédie, marionnette, petite marionnette...
Dans l’ombre de tes fils, tu cherches ta vie, dans l’ombre de ta vie, tu cherches tes joies, dans l’ombre de tes joies, tu oublies tes peines, dans l’ombre de tes peines, tu oublies tes rêves, dans l’ombre de tes rêves, tu oublies tes fils, marionnette, petite marionnette...
Tu amuses, marionnette, tu amuses et tu divertis, tu fais sourire, tu fais frémir, tu fais bondir et rire, et tout ça, tu crois que c’est toi ? Tu crois que c’est toi, toi qui choisis ? Tu crois que c’est toi, toi qui décides ? Tu crois que c’est toi, toi qui vis ?
Marionnette, marionnette, petite marionnette...