A Azincourt, face à des Britishs pourtant mal en point suite à l’absorption de moules avariées de la baie de Somme, on s’est tout de même fait bananer because le terrain lourd… Ouais, d’accord, à Doha ça ne craint pas, c’est vachement sablonneux et il n’a pas plu depuis des mois... voire des années !
A Waterloo c’est le brouillard et les Autrichiens, on n’attendait ni l’un ni l’autre, qui nous ont fichus dedans malgré le dernier carré formé par Cambronne et surtout le « Merde » retentissant envoyé à Wellington lui demandant de se rendre et qui de ce fait n’aura tout de même pas eu le mot de la fin… Cette fois peu de chance d’avoir du brouillard en climatisé et pas d’Autrichiens pour leur donner un coup de main...
A Trafalgar, autre défaite de nos couleurs malgré l’aide espagnole, l’amiral Nelson s’adressant à ses équipages leur fit savoir que… « L’Angleterre attend de chacun d’entre vous que vous fassiez votre devoir jusqu’à la victoire ! » Perso je trouve que le coach britannique d’aujourd’hui a une vague ressemblance avec ce Nelson qui, entre parenthèses, a tout de même laissé sa peau dans cette aventure… Méfie-toi, Dédé !
Bon, on ne va pas remonter à Guillaume le Conquérant car il faudrait écrire un bouquin mais j’ai gardé celle-ci pour la fin…
Si par hasard, sait-on jamais, cet affrontement sportif en terre étrangère devait se terminer par des tirs au but, souviens-toi, mon vieux Dédé, de la Bataille de Fontenoy et du célèbre…
« Messieurs les Anglais, tirez les premiers ! » car si, à la demande du Maréchal de Saxe, les Anglais ont bien tiré les premiers, Fontenoy se solda pour finir par une victoire française…
Quoi qu’il en soit, fais en sorte que le soleil d’Austerlitz brille sur le Qatar dimanche prochain à l’issue de ce nouveau face à face franco-britannique ... viril mais pacifique, n’en doutons pas !
Salut Dédé !
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Quelques rappels "historiques" à l’attention de Dédé avant la bataille de Doha...
Dédé c’est Didier Deschamps, « the big boss of the french team » comme disent les Britishs que le destin, une fois encore, a désigné pour affronter les bouffeurs de grenouilles en terrain neutre …
Ca ne pouvait pas être pire car l’Anglais a de la mémoire et n’a jamais digéré les quelques ratatouilles emmagasinées au fil des siècles… C’est vrai que nous avons nous aussi pris de mémorables raclées mais les historiens nous accordent tout de même la victoire aux points, quand ce n’était pas aux poings faute de munitions !
Alors Dédé, fais gaffe et retiens bien ce qui suit…