HALLOWEEN
La forêt dans un silence dépeuplé
Entend des bruits diserts, la nuit décline son identité
Je suis la cellule des ombres, l’étuve des sorcières
Près de l’arbre des songes HALLOWEEN établira son antre
Minuit trapu apparut au bras d’une lune irascible
Il éveilla l’attente qui somnolait près d’un pin pensif
HALLOWEEN présentera ses respects au grand LUCIFER
Permissif et fêtard le mentor attisera le feu de l’univers
Bruissement sensoriel, apparut une barque translucide
Mille et une sorcières vers l’arbre des songes s’égayèrent
On se congratulait : ma chère MEPHISTA votre tenue est d’enfer
Ce chapeau label de scorpion s’est inspiré des fourches caudines
HALLOWEEN Signa le pacte du néant les sorcières se dispersèrent
Vers les demeures murées dans une attente épique
Cette nuit verra les aubes travesties en crépuscules
Les matins fugaces parodier les après-midis somnolents
Raymonde verney