J’ai vu deux chevaux.
Ils étaient drapés de beaux vêtements bleus de preux chevaliers.
Ils resplendissaient tels des purs sangs royaux qui chevauchent dans les prairies sahariennes.
Ornés de leurs joyaux,
Le soleil brillait dans leurs grands yeux noirs.
Les étoiles éclairaient leur peau doré le soir.
Illuminant dans nos regards.
Leurs splendeurs ne cessaient de croître chaque jour,
Gagnant la grandeur de vivre, chevauchant sur les dunes colorées de dorures.
Resplendissaient leurs parures,
Comme la première fois qu’ils furent aperçus !
Comme la première fois que l’œil se figea dans leur miroir éperdu !
Dalila.