L’assassinat d’Henri IV, la piste écolo...

Après mûre réflexion, voici ma version des faits...
Ravaillac était, comme on dit aujourd’hui, connu des services de police pour moult petits méfaits mais ce que ne disent pas les chroniqueurs d’époque c’est que Ravaillac était aussi écolo et défenseur de la biodiversité avant l’heure… Il aurait, dit-on, axé son action sur la défense de la mulette ! Comment ? Non, la mulette n’est pas une petite mule mais une moule d’eau douce dite aussi moule perlière qui depuis la nuit des temps, vivant dans le courant de nos rus et rivières, est traquée pour ses perles…
Il faut savoir que l’on considère que seulement une mulette sur mille produit une perle et c’est là que le bât blesse car pour le baptême de Loulou le Treizième en 1606 , Riton offrit à sa Marie (de Médicis) une robe ornée de trente deux milles perles de rivières ce qui par un rapide calcul mental correspond à la mise à mort d’environ trente millions de mulettes, une hécatombe qui se fit à travers l’Europe entière mais aussi dans la région d’Angoulême, berceau de notre régicide qui quatre ans durant rumina sa vengeance…
Ce n’est bien sûr qu’une hypothèse sans réels fondements historiques quoi que certains écrits de cette lointaine époque certifient que Ravaillac, totalement dénudé avant le supplice de la roue, portait en pendentif une coquille de mulette en guise d’amulette… Après tout, pourquoi pas ?