Madame, comme il l’avait si bien formulé lors du discours de réception prononcé pour votre élection à l’Académie Française, si Monsieur d’Ormesson était toujours de ce monde il aurait, une fois encore, trouvé les mots justes pour vous dire combien l’immense majorité des Français vous aime.
N’ayant, hélas, ni sa culture ni son talent, mais vous aimant tout autant, je tenais tout de même à saluer cette ultime étape qui vous honore.
Après que l’Académie vous ait faite Immortelle en vous offrant, Quai Conti, le fauteuil de Racine, vous voilà Eternelle en entrant au Panthéon aux côtés de Jean Moulin, Gambetta, Brossolette et bien d’autres encore...
Puissent les générations futures ne jamais oublier la grande dame que vous avez été et que vous resterez pour moi jusqu’à mon dernier souffle...
Adieu Madame
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