L’humanité n’est pas seulement l’ensemble des êtres
Humains vivant sur la terre, mais elle épouse beaucoup plus la forme d’un Web particulier qui fait que l’on partage le bonheur et aussi le malheur.
Quand vous voyez des atrocités sur une certaine chaîne TV, vous ressentez infailliblement un changement manifeste dans vos entrailles ; une onde de douleur associée de commisération, vous envahit et vous vous verriez par la suite avec des yeux mouillés comme la preuve accablante de l’impossibilité d’être impassible vis-à-vis les douleurs d’un « prochain » (peut être vous diriez que j’exagère dans la description de cette caractéristique humaine, mais cette dernière est une composante majeure de la nature profonde de « l’humanité », cette dernière est une véritable mère dont la tendresse et la sollicitude envers ses chers fils (que sont moi, vous et chaque humain vivant dans n’importe quelle contrée de la terre) sont loin d’être mesurables, et il en découle naturellement l’émergence d’un phénomène que j’appellerais « feu roulant » qui témoigne bien de l’existence d’une sorte de « transmigration » des sentiments entre les êtres humains.
Je veux dire par « feu roulant » l’expression allégorique du fait que le bonheur ou le malheur d’une personne quelconque est, bel et bien, le bonheur ou le malheur de notre chère mère « l’humanité » qui nous emmitoufle tous et sans exception (les différences raciales, ethniques et autres sont nulles) de son intarissable et abracadabrante affection