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Miels débusqués
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L’homme est une créature qui se caractérise par sa nature fichtrement distinguée, inconcevablement profonde et indiciblement richissime, et pour vous élucider un peu ces qualifications (qui ont une corrélation robuste avec mon thème), je me contente de vous donner modestement un compendium de la nature humaine ; l’homme, de par sa sublime dyade représentée par sa raison et son cœur, est une source productrice des manières d’assurer le développement et l’amélioration de son existence d’une part, et l’exhalaison de divers parfums de cette dernière, d’autre part.
En effet, l’analyse et l’éclaircissement de mon thème « miels débusqués » implique une vision approfondie du « cœur humain » d’un coté, et un peu de lumière sur le monde de l’impalpable, d’un autre coté.Primo, le cœur humain est l’organe qui abrite le monde des sensations, celles-ci englobent comme exemple « la douceur ».Secundo, et comme vous le savez bien, il y a des choses palpables et d’autres impalpables, s’inscrivant dans le cadre très vaste de « la métaphysique ».Tertio, l’amplification de ces deux notions, associée de leur synthèse, fait sourdre l’énoncé suivant :
« Le cœur humain, bien entendu, ne peut pas s’empêcher d’extérioriser son contenu abstrait (sensation quelconque) sinon l’homme qui le possède présente un certain déséquilibre.Illustrons un peu cette caractéristique ; l’homme qui se toque d’une certaine femme, pourrait lui écrire un poème ou une chanson d’amour, et ce, comme l’expression de ce qui frétille dans son cœur, ce frétillement est une « douceur » qui est assimilable à un « miel » ayant pour « gîte » « le cœur », et qui en serait « débusqué » (mon thème commence ici à s’éclaircir).La caractéristique dont j’en parle, présente en réalité tout un monde si immense et si diapré qu’il est tellement pertinent d’en citer les aspects se rapportant à « la douceur » ; il y a une catégorie d’hommes qui objectivent bien le tableau des « miels débusqués », cette catégorie consiste en « les artistes » ; les chanteurs, les poètes, les peintres, les musiciens, les peintres,…..etc, jouissent d’un sens esthétique sublime, d’un espace d’expression spacieux et surtout d’un esprit de « débusquer » les miels « impalpables » gîtant aux tréfonds d’eux-mêmes (plutôt de leurs cœurs).
Le chanteur, en chantant, il éprouve vivement la douceur ineffable qui anime son âme, ayant pour origine son cœur, et qui se traduit par les vibrations de ses cordes vocales faisant sortir ainsi « le miel » préalablement logé dans son cœur.Il en va de même pour le musicien, le poète, le peintre et d’autres types d’artistes, tous ces hommes extériorisent, à fortiori débusquent des « miels impalpables » qui sont les produits de l’interaction faite entre leurs cœurs et le monde extérieur.Le produit du « débusquement » varie certes d’un artiste à l’autre, il est pour le musicien une symphonie par exemple (Mozart, Beethoven, Bach,…etc.), pour le poète la poésie (Victor Hugo, Paul Valéry,…etc.), pour le peintre un tableau (Picasso, Leonardo Da Vinci,…etc.) et chaque artiste s’exprime selon son domaine.
« Miels débusqués » sont des produits abstraits ou non qui ont pour origine « le cœur humain », et qui s’étendent sur un espace tellement vaste comportant le sourire d’amour éperdu comme un très simple exemple, et les œuvres des célèbres artistes comme l’objectivation qui indique le rôle que pourraient jouer « miels débusqués » dans la production de « la célébrité » ; Michael Jackson, le King du pop, n’aurait pas été qualifié ainsi si ses « miels débusqués » (ses clips et chansons) n’avaient pas vu le jour (c’est axiomatique), et il en va de même pour moult célébrités artistiques.Donc le cœur humain est le promoteur de « l’art » et le déterminant de son degré de douceur, en outre, il serait considéré comme les atours de l’humanité (via ses produits). »
Comme quintessence de ce qui précède, « miels débusqués » désignent des choses palpables ou non qui sont produites par « le cœur humain », ces choses ont les caractéristiques suivants :
a)L’incommensurabilité de leur espace
b) D’origine abstraite (douceurs dans le cœur qui les débusquerait par la suite)
c) Epousent diverses couleurs (donc « diaprées »)
Mon thème « miels débusqués » est désormais l’objet de vision par l’œil scrutateur de « la philosophie »