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Il se passe tellement de choses étonnantes, voire que ça, dans la vie !?
D’une chose apparemment crade on passe à une autre d’une surprenante Luminosité ou Acuité, passage d’un regard à un autre, d’une sorte de "qualité" de regard à une autre, comme si tout n’était pas 1 et ne nous le montrait pas sans cesse !?
Je « suis (pas « me » sens) » heureux : la vie est si belle, je lui souris, y’a quelque chose d’incroyable « entre »-nous, quelque chose qu’il est si bon de vivre parce que ça n’appartenant à rien ni personne !
Tout m’émerveille : j’en aurais presque envie de pleurer !
Tout est Lumière, y’a pas de doute, sans distinction aucune, quelque direction apparente que quoi que ce soit prenne !
Je ne le sais pas qu’avec la tête, mais de/par tout ce qui peut le savoir, sentir !
Bien sûr, dans ma tête ça reste folie : cela n’est pas un problème, pas étonnant ou propre à un moment particulier !
Non. La tête se divertit ainsi, comme si elle avait rien d’autre à foutre que faire chier, tenter d’attirer toute l’attention sur elle, nous faire peur (voire « nous » traumatiser), car sa stratégie est précisément de nous faire « croire en un "nous" », en un "quelqu’un à définir", défendre ou préserver.
Elle raconte l’histoire d’un gars ou d’une fille qui a « intérêt » à se battre si il ou elle veut rester en vie ou... pluss, si affinités !
Il ou elle ne doit pas « lâcher », pas faire confiance en la vie, au « hasard », à ce qui ne se maîtrise pas ou est autre que « soi » !
Elle pointe sans cesse d’un doigt accusateur, et aléatoirement, tout et n’importe quoi, du moment que le combat continue, qu’il mette un peu de sel (ou d’exotisme)dans le monotone-naturel de l’existence.
Elle nous dit qu’on ne peut vivre, être, sans elle, sans son regard sur tout, ses conseils... "éclairés ou éclairants" !
Qu’elle est « tout » pour nous, tout ce que nous « possédons » de nous, avons toujours rêvé, grande messagère et représentatrice de "La Vie en personne", sa missionnaire la plus fidèle et dévouée !
Alors nous lui remettons le « temps (ce que nous pensons que nous sommes) », la gestion du mouvement de son horloge, notre corps, avenir, identité, réalité ou mérite... le sans fin de « notre liste d’être », de savoir, de choses à accomplir...
Que pouvons-nous lui confier d’autre ?
Ainsi, durant ce « temps », nous ne parvenons à voir que nous ne sommes pas "ledit prétendu", toutes ces choses qui « semblent nous composer » !
Que nous sommes peut-être (sans doute ou assurément) autre chose, quelque chose qui pourrait bien se situer « ailleurs ou au-delà » de...
Que « faire » alors quand une « nouvelle perspective » s’immisce dans ce que nous croyions être tout ce qui « faisait le jour » ?
Que se passe-t-il quand, sans prévenir, cette perspective nous fait regarder la vie tout autrement, voire à mille lieux de là où nous pensions que « tout » était, se passait ou se résumait ?
« Qui ou quoi » risquerait-il alors d’être remis en question, voire définitivement rayé de la carte de nos indélébiles ?