Ce qui n’est pas (déjà) là, n’existe pas !
Trop simple : je ne peux mourir en/de cela, être « que » ça !?
Là, je me vois marchant seul, sans autre envie que de sentir le vide de/en tout, en moi, le sentir parler de sa voix de nulle part, de sa voix qui me montre que je n’appartiens à rien, que la vie est (déjà) libre et qu’il est bon de le sentir, simplement.
Ça semble comme quelque chose de grand, de profond, si vaste pour un aussi petit corps ou être, qui veut émerger, se déverser partout, ultimement ?
Je sens qu’il y a la vie, tout, en cela !
Et c’est en cette apparente solitude, ou intimité, que ça se passe, seulement et simplement.
Il n’y a dors et déjà plus quelqu’un pour la retenir, bien au contraire !
La disparition de tout protagoniste s’y dit tant : toute la place est habitée par cela, dans mes yeux !
C’est fort ; dans mon ventre ; chaud !
C’est l’amour, je le sais, tout le sait !
Pas l’exclusif, celui offert « qu’à "moi en particulier " » et... à un moment donné !... Non : (mais) l’amour qui n’a plus rien à voir avec rien, libre, et non libéré, de tout.
Il n’y a pas le privilège d’une unité isolée sur laquelle la grande dispensatrice a jeté son dévolu, là !
Non. C’est plus simple et plus beau que cela !
C’est ce qui a toujours été de toute éternité : rien de moins, rien de plus !
C’est d’aucune invention ou création « particulière » !
Ça n’appartient à rien, ne va vers quelque chose ou rien.
C’est déjà !
C’est la vie telle qu’elle a toujours été : vue ou pas !
C’est toi, c’est moi, c’est nous... : « c’est Tout » !