Pas tout de suite, Laurel. Laisse-moi admirer le paysage avant de redescendre.
Comme le paysage est joli ! Pas un chat, pas d’avion qui survole les montagnes, mais un igloo…
Tu as bien dit un igloo ?
Oui, Laurel, c’est ce que j’ai dit : un igloo.
Martin, tu nous attends, on va chercher Kylie.
Oui, allez-y les filles.
Et les filles revinrent avec Kylie.
Dis, Martin, qu’est-ce que tu fais ?
Je prends des photographies avec le minuteur, Maggie. Voilà, c’est fait. À présent nous allons redescendre.
Non pas tout de suite, laisse-nous nous reposer un peu dans la neige, s’il te plaît, Martin.
Très bien, les filles, on va se reposer dans la neige.
Et Laurel commença à lancer des boules de neige sur sa copine Maggie.
Laurel ! Qu’est-ce que tu fais ? Cesse de me lancer des boules de neige ! Regarde, je suis toute mouillée !
Excuse-moi, mais j’ai le droit de m’amuser, moi aussi.
Oui, tu as raison, Laurel, tu as le droit de t’amuser dans la neige.
Et Maggie aussi lança des boules de neige à sa copine Laurel.
Maggie ! Je suis toute mouillée moi aussi !
Dites, les filles, cessez de vous lancer des boules de neige ! Nous devons redescendre.
Maggie, tu penses la même chose que moi ?
Oui, Laurel, faisons-le.
Et les filles lancèrent des boules de neige à Martin, qui dit ceci :
Les filles ! Cessez de me lancer des boules de neige ! Mon manteau de fourrure est tout mouillé !
Nous aussi, nos manteaux sont mouillés !
Et, après la bataille de boules de neige :
On redescend, les filles.
Par le sentier que nous avons suivi pour monter ici, Martin ?
Non, de ce côté-ci, Laurel.
Mais tu es dingue ! Il y a un ravin, au bout de cette pente de neige !
J’ouvrirai le vortex pour ne pas nous retrouver au fond de ce ravin, les filles.
Très bien, allons-y.
Et après que nos amis, ainsi que Kylie, se sont installés dans le toboggan, les filles dirent ceci, pendant la descente :
Wou-hou ! On aime ça, faire de la glisse !
Martin !
Oui, Maggie ?
Ouvre le vortex ou nous allons nous écraser dans le ravin !
Voilà, c’est fait, Maggie.
Et nos amis glissèrent dans le vortex au lieu de s’écraser dans le ravin. Et le vortex s’ouvrit sur les pentes de neige de Bosco. Et nos amis sortirent du vortex pour glisser sur les pentes de neiges de Bosco. Et en bas des pentes de neiges de Bosco :
Quelle glisse, les amis ! J’ai aimé ça !
Moi aussi, j’ai aimé ça.
Et toi, Maggie, tu as aimé ça ?
Oui, Martin, j’ai aimé ça.
Dites, qu’est-ce qu’on fait ? On retourne au collège ou bien on continue à faire de la glisse ici, à Bosco ?
On retourne au collège pour étudier et travailler à la cafétéria, les amis.
Pas tout de suite, Maggie, je voudrais faire un peu de glisse avec le toboggan.
Très bien, Laurel, on va faire de la glisse avant de retourner à l’école.
Et nos amis, qui avaient monté le mont Everest au Népal, s’installèrent dans le toboggan et glissèrent dans les pentes de neige à Bosco. Et pendant la descente, les filles disaient ceci :
Wou-hou ! C’est amusant de faire de la glisse ! On devrait faire ce genre de sport, quand on ne travaille pas au collège !
On reviendra, les filles, quand nous ne travaillerons pas au collège, pour faire de la glisse avec ce toboggan.
Et Maggie dit ceci :
Martin, on va foncer dans les arbres !
Et nos glisseurs de toboggan passèrent à côté des arbres. Et Martin dit ceci à ses copines :
Avons-nous foncé dans les arbres, les filles ?
Bien sûr que non, que nous n’avons pas foncé dans les arbres, Martin !
Et toi, Kylie, ça va ?
Oui et j’ai aimé ça, faire de la glisse avec vous, sur ce toboggan !
Dis-moi, Kylie, c’est toi qui as envoyé les photographies du Népal et des autres pays à Martin, au laboratoire du collège ?
Oui, c’est moi, les filles, qui ai envoyé ces photographies du Népal et des autres pays à Martin, où vous m’avez trouvée dans un igloo, avec ce manteau de fourrure.
Mais dis-moi, Kylie, pour quelle raison tu n’es pas redescendue, au Népal ?
Il faisait une tempête de neige, et comme j’ai vu cet igloo, j’y suis entrée pour me réchauffer avant de retourner au village, mais comme la neige avait recommencé à tomber, je suis restée dans l’igloo.
Et les photographies ? Comment que tu as fait pour nous les envoyer, Kylie ?
Avant de monter en haut du mont Everest, je suis allée dans un magasin de photographie et j’ai acheté plusieurs photographies et j’ai dit au commis que si je ne redescendais pas de la montagne, d’envoyer ces photographies au collège, avec une lettre que j’ai écrite, des fois que je ne pourrais redescendre de cette montagne de neige. Est-ce que vous les avez eues ?
Oui, nous les avons eues.
Mais dites-moi, avez-vous eu la veste de cuir, pour Martin ?
Non, Kylie, je n’ai pas eu la veste de cuir dont tu parles.
Mais dis-moi, comment as-tu rencontré Martin ?
Martin et moi, on s’est rencontré aux chutes de Sainte Ursule, où je faisais des photographies des chutes. Et comme j’avais le veston de cuir, comme celui que Maggie portait pour faire la page couverture du magazine de chaussures, Martin m’a dit qu’il en voulait un, manteau de cuir, et je lui ai dit ceci : « Quand je vais aller au Népal, je t’en achèterai un ».
Et c’est ce que tu as fait.
Oui, Laurel, c’est ce que j’ai fait et je l’ai envoyé avant de monter sur le mont Everest.
Et maintenant, que faisons-nous ?
On retourne au collège pour étudier et travailler !
Et toi, Kylie, que vas-tu faire ?
Je vais rester avec toi au laboratoire pour nous faire à manger, parce que je commence à avoir faim et soif, et il y a le manteau de cuir que je t’ai acheté au Népal.
Allons-y !
Et nos amis, qui avaient monté le mont Everest pour aller chercher Kylie, retournèrent au collège pour étudier et travailler à la cafétéria de cette école.