Un métier bien passionnant que le métier de régulation de délires mais oh ! Combien difficile. Pour cela, pas besoin de diplômes mais avoir un minimum de bagages : être sujet aux délires. atteinte moi-même, j’étais toute prédisposée à cela.
Je ne travaille pas sur les gros, ceux là sont soignés par des médecins spécialisés que l’on nomme des psychiatres. Je ne voudrais pas me méler de leur soins n’ayant pas les compêtences.
Les délires que je régule sont bénins et sans danger apparent quoi que...
Tous les jours, je soigne des crises de rire sans objet, des personnes ayant la folie des grandeurs ou des narcissiques en mal d’eux... Je vois derrière mon écran que vous souriez gentiment en vous disant que ces maux n’existent pas... et pourtant...
Certains patients éliminent très vite et d’autres pas. Le premier remède est comme l’alcoolémie, reconnaître que l’on est “malade”. Croyez moi ce n’est pas toujours évident mais lorsque c’est accepté le “ patient” vient me voir une ou deux fois par semaine et nous délirons ensemble pendant une heure. Pas plus surtout car cela peut devenir dangeureux surtout pour moi. Je risque de tomber et me retrouver à l’hopital psychiatrique. Je sais... j’ai failli... Mais n’ayant pas de lit et n’étant pas dangeureuse, le médecin m’a laissé repartir en me disant de ne pas trop en abuser
Si vous même avez ce genre de “maladie”, je suis à votre disposition pour vous aider et cela gracieusement car vous êtes mes amis mais n’en abusez pas ...