Je n’ai que trop fait attention à moi, je ne me suis pas assez occupée de toi.
J’ai sous-estimé tous tes pleurs et tes moments de faiblesse, je ne t’ai jamais consolée, je t’ai simplement donné des sourires...
Tu étais facilement influençable et mon petit ’moi’ de l’époque s’en est rendu compte et j’ai voulu te faire à ma façon, te transformer en une sorte de jumelle.
Parfois je te blessais, tu ne m’en voulais jamais, je regrette ! T’aurais du m’en vouloir ! Pour que je me rende compte de ma bêtises, que sans toi je ne suis rien, et à quel point ton amitié est sacrée...
Tu as un petit cœur miéleux qui accueille tout le monde et rejette rarement quelqu’un...C’est une immense qualité que moi je ne possède pas, tu es gentille, j’en ai vraiment trop abusé !
Sache que ce n’est pas toi qu’il faut blâmer et torturer par faute de mon imbécilité profonde.
Tu dosi pas t’en vouloir pour mes conneries, et si un jour tu décides de cesser de me parler plutôt que de te faire du mal, je comprendrai, j’accepterai...
Cesse ça, je t’en prie ! Si ce n’est pas pour moi ni pour toi, fais-le au moins pour tous ces gens qui t’entourent et qui t’aiment.