Quand vraiment j’en pourrais plus, que finalement tout s’achevera, il vous restera un dernier devoir : le souvenir.
Souvenez vous de l’amtié.
Souvenez vous des joies partagées.
Oubliez les peines et les souffrances.
Souvenez vous des qualités, souvenez vous des bons cotés.
Oubliez les défaults et les ombres.
Si tu te dis que tu n’en a pas assez fait, si tu t’en veux de ce qui est arrivé, n’oublie pas que tu y es pour rien. Car rien ni personne ne pouvait y faire quoi que ce soit.
Souviens toi juste des sourires, oublie les larmes.
A vous qui restez après, vous êtes mes seuls regrets.
Je vous fais un dernier mauvais coup...
Pardonnez moi !
Et souvenez vous.